30 novembre 2006
24 novembre 2006
LA POLICE NATIONALE NE CESSERA JAMAIS DE NOUS SURPRENDRE ET CETTE FOIS-CI DANS LE BON SENS !!!
Le syndicat UNSA-police, proche du PS, remporte les élections professionnelles
Selon la DGPN, Alliance, avec 36,47 %, gagne 4 points par rapport à 2003, l'UNSA avec 41,07 % "n'atteint pas le score de 48 % qu'elle pouvait espérer après la fusion avec le SNPT". Pour sa part, le Syndicat général de la police (SGP-FO) avec 15,34 % retrouve, selon la DGPN, son score de 2001.
Au sein des commissions administratives paritaires nationale (CAPN), l'UNSA-police avec 31 757 voix (41,07 %) obtient 7 sièges, Alliance avec 28 205 voix (36,47 %) 6 sièges, SGP-FO, avec 11 861 voix (15,34 %) 2 sièges. La FPIP (4,73 %), Action police-CFTC (1,40 %), la CGT (0,60 %) et la CFDT police (0,39 %) n'obtiennent pas de siège.
De son côté, le Syndicat des commissaires et hauts fonctionnaires de la police nationale (SCHFPN), avec 58,5 %, demeure majoritaire dans son collège avec trois sièges mais en cède deux au nouveau Syndicat indépendant des commissaires de police (SICP), qui totalise 35,79 %. Dans cette catégorie, l'UNSA-police n'obtient que 5,71 % et pas de siège. Enfin, dans le corps de commandement, le SNOP-UNSA arrive en tête (53,14 %) et obtient cinq sièges, Synergie-CGC (44,84 %) quatre sièges. Action police (0,88 %), SGP-FO (0,70 %) et la CFDT (0,44%) n'obtiennent pas de siège.
Ce scrutin a été marqué par une participation importante, 80,81 %, en hausse par rapport à 2003 (77,12 %).
Satisfaction des leaders d'Alliance et de l'UNSA
Jean-Claude Delage, secrétaire général d'Alliance, avait déclaré, dans la nuit et après publication de résultats partiels, "être satisfait de [sa] progression" et indiqué qu'il continuerait "à œuvrer pour tous nos collègues".
Joaquin Masanet, secrétaire général de l'UNSA-police, s'était aussi estimé "satisfait" , rejetant, tout comme M. Delage, un "scrutin politique". "Si quelqu'un a politisé le débat, c'est l'intérieur", a lancé M. Masanet, l'accusant d'avoir "favorisé" son concurrent.
Ces élections professionnelles revêtaient donc un enjeu particulier, selon les observateurs du monde policier, d'autant que la sécurité pourrait être au cœur de l'élection présidentielle de 2007, comme elle le fut en 2002.
Alliance et l'UNSA ont organisé, ces dernières semaines, une série de rassemblements et manifestations afin de protester contre les récentes "violences" contre les policiers en banlieue. M. Sarkozy a répliqué à ces manifestations en se déclarant, par courrier auprès d'Alliance – au grand dam de M. Masanet –, favorable à une nouvelle loi d'orientation pour policiers et gendarmes, susceptible de leur donner de nouveaux moyens, comme il l'avait fait en 2002.
(attention danger, trop de lois tuent la loi M. Sarkozy)
18 novembre 2006
Une gauche qui doit tenir bon
http://www.dailymotion.com/video/xg050_nicolas-s
13 novembre 2006
Pourquoi je retourne à mes premiers amours?

Pourquoi soutiendrai-je alors Strauss-Kahn? C'est justement ce que je vais essayer de vous expliquer. C'est long mais j'ai du mal à faire court, y'a tellement de choses à dire.
Tout d'abord, nous sommes dans une période de graves problèmes internationaux, dans une période remplie d'incertitude pour notre avenir et il nous faut un homme de confiance. Cet homme de confiance ou tout du moins celui qui serait le plus apte à l'être, c'est Dominique Strauss-Kahn, et c'est lui qui parviendra à créer de la confiance par la pédagogie.
Cet homme s'est battu durant des années pour imposer ses positions, ses visions sociales démocrates, or si notre Président de demain n'a pas la conviction et la force politiques suffisantes pour affirmer sa volonté politique et pour convaincre ses partenaires, c'est la France qui en sera affaiblie.
Une de ses grandes qualités est qu'il est à la fois un homme d'expérience et de modernité, il assume le choix social-démocrate. C'est-à-dire qu'il répond à l'exigence sociale et à l'efficacité économique dont notre pays à besoin. C'est aussi un homme d'une grande inventivité en technique de gestion de l'Etat, ce qui est à mon sens une qualité rare.
C'est aussi un homme qui à la stature d'un chef d'Etat, il rassure, il explique clairement ces choix et insiste sur sa volonté de vérité. En réalité, les vidéos qui sont récemment sorties sur Madame Royal ne seraient jamais sorties si elle avait dit toute la vérité sur ses projets pour la France. Or que je sache, aucune vidéo n'est apparu sur DSK et pourtant les Royalistes ne pas plus gentils que les Strauss-Kahniens.
Robert Badinter pourtant ami de longue date de Laurent Fabius soutient DSK. Il le soutient, parce que tout d'abord DSK a été un très bon ministre de l’économie et des finances pendant 3 ans. Or dans le monde où nous sommes, les problèmes économiques sont essentiels, et les grands choix faits par le Président de la République dans ce domaine sont décisifs. Ensuite, parce que DSK a une grande expérience internationale. Sa formation universitaire comme son activité comme ministre du Commerce extérieur lui ont assuré un crédit personnel important au sein des organisations internationales. DSK a, d’autre part, des convictions profondément européennes et est apprécié par tous les leaders socialistes européens. Enfin, DSK est un social-démocrate : "ses vues sur la gestion de la société française, alliant le dynamisme d’un marché régulé et le constant souci de la justice sociale rejoint les miennes .
DSK veut un président de la République engagé. DSK a une conception renouvelée de la fonction présidentielle. Celui-ci doit être un acteur essentiel de notre démocratie parlementaire et non plus le monarque républicain d’antan, ni l’arbitre passif d’aujourd’hui qui se contente de fixer les grandes orientations sans s’impliquer ni véritablement s’engager. Il doit être un visionnaire qui indique une direction pour le pays, qui agit, qui tranche. Cette conception de la fonction présidentielle est d’autant plus nécessaire que dans le monde d’aujourd’hui, les décisions qui engagent la France sont prises dans les grandes réunions européennes et internationales. Or s’il n’y a pas la conviction et la force politiques suffisantes pour affirmer sa volonté politique et pour convaincre ses partenaires, c’est la France qui est affaiblie. Cette fonction présidentielle renouvelée doit s’accompagner d’un rééquilibrage nécessaire de nos institutions en faveur du Parlement. L’instauration du mandat unique pour les parlementaires, réforme radicale pour instaurer un parlementarisme rénové, leur donnera les moyens d’exercer pleinement leur fonction législative et leur fonction de contrôle de l’exécutif. Si le projet de notre parti a inscrit ces propositions novatrices, c’est parce que DSK en a été le promoteur et je pense qu’il est le mieux à même de les réaliser.
DSK promet aussi d’engager ce qu’il appelle le pacte de l’Elysée, c'est-à-dire une vaste négociation avec les partenaires sociaux sur la question du pouvoir d'achat, des retraites ou de la santé au travail s'il était désigné par le PS, puis élu à la présidence de la République. C’est l’engagement du Président, sous son égide, de mettre en place une négociation qui redéfinisse ce qu’est le compromis social dans notre pays.
On donne Ségolène gagnante. Mais la question n’est pas là. Je suis inquiète pour mon pays, et au final j’ai un peu l’impression que le débat est mal centré. Le monde entier vit une double crispation en ce moment, le prochain Président sera assailli le lendemain de sa désignation de problèmes internationaux majeurs. Le plus grave est que le proche orient est entrain de prendre feux. Aujourd’hui, tout se rejoint. Sur ce sujet de plus les Etats-Unis vont mettre 6 mois pour redessiner les contours de sa nouvelle diplomatie voir un an suite aux élections qui ont tourné en faveur des démocrates. Ce qui signifie que cette diplomatie américaine sera absente quelques temps ce qui est une chance majeure pour la France. Il nous faut un Président qui dès son élection ait les manettes en main et qui ait de l’autorité et qui inspire le respect. Sur ce plan là je ne doute pas que Madame Royal en soit capable mais il lui faudra un an et demi ou deux, Laurent Fabius n’a pas ce respect de la communauté internationale et le seul qu’il l’ai est DSK. Pour moi c’est une sécurité pour la France d’avoir un Président qui soit opérationnel le lendemain matin de son élection.
Je me sens socialiste européenne, je me sens social-démocrate. Être socialiste c’est être efficace et être efficace c’est être social-démocrate aujourd’hui. On ne rêve pas de rupture contrairement à d'autres, on rêve d’avancer pas à pas, progressivement et j’aime cette idée car parler de rupture, c’est parler de blessure, je ne sais pas ce que c’est la rupture et j’aime qu’on affiche qu’on ira pas à pas, puissamment, pesamment. Et tout ça c’est DSK. Mais quel qu’il soit, le candidat socialiste aura tous les socialistes derrière lui que Sarkozy ne se fasse pas d’illusion.
Je compte sur Dominique, il compte sur vous.

Je retourne ma veste ?


12 novembre 2006
Merci à toi
Affectueusement, Dorothée
http://www.dailymotion.com/video/x2z3m_zazie-slow-07
06 novembre 2006
Souvenirs septembre 2002 au Théâtre Edouard VII
Pitou est d’abord prié d’imiter la mère de Sarah. D’abord réticent, il finit par accepter et par se prendre au jeu. C’est l’occasion de découvrir les relations tumultueuses entre Sarah, 25 ans, et sa mère. Plus tard, Sarah remonte dans sa jeunesse et demande à Pitou de jouer le rôle de Mère Sainte-Thérèse, la mère supérieure du couvent où elle avait été placée…
Sarah Bernhardt connut de son vivant une gloire certainement unique et fut une comédienne pionnière dans sa façon de mener sa carrière.. Sacha Guitry, grand admirateur de l’actrice, lança, après sa mort, une souscription pour ériger une statue en l’honneur de Sarah. Celle-ci, signé François Sicard, représentant Sarah Bernhardt en Phèdre (un des grands rôles en 1874 à la Comédie-Française), orne toujours la place Malesherbes. C’est la fascination autour de cette actrice qui a présidé à la création de nombreuses biographies et a incité John Murrell à écrire cette pièce.
http://www.dailymotion.com/video/x4gmn_sarah2