Après les turbulences du mois de janvier, le meeting parisien de Ségolène Royal a offert mardi soir l'image d'un Parti socialiste rassemblé à moins de trois mois du premier tour de l'élection présidentielle.
Ancien rival pour l'investiture interne, Dominique Strauss-Kahn a pris place aux premiers rangs de la Halle Georges Carpentier, dans le XIIIe arrondissement de la capitale (hihi, je vous l'avais dit le 13ème, ça c'est de la valeur sûre!) L'ancien ministre de l'Economie, qui doit remettre un rapport sur la fiscalité vendredi à Ségolène Royal, a été "personnellement invité" par la candidate au début de la semaine, a fait savoir son entourage. "DSK" s'est assis non loin d'autres anciens ministres de la "gauche plurielle" dirigée entre 1997 et 2002 par Lionel Jospin, absent de la réunion publique tout comme Laurent Fabius, avec lequel Ségolène Royal doit tenir un meeting le 24 février.
Côte à côte, Daniel Vaillant, Elisabeth Guigou et Jack Lang se sont assis près de l'ex-ministre de la Santé Bernard Kouchner ou Yvette Roudy, ancienne ministre de la Condition féminine de François Mitterrand et membre de l'équipe de campagne de Ségolène Royal. Devant la scène basse tendue de bleu, on retrouvait également François Rebsamen, co-directeur de campagne, Jean-Christophe Cambadélis, député de Paris et bras droit de Dominique Strauss-Kahn ainsi que les présidents de groupes PS à l'Assemblée et au Sénat, Jean-Marc Ayrault et Jean-Pierre Bel.
Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), avait été l'un des premiers à pénétrer dans le grand gymnase et Christiane Taubira, ancienne candidate du PRG, devenue la "déléguée à l'expression républicaine" de Ségolène Royal, devait rejoindre le meeting en cours de route. Les deux partis se sont rangés derrière le PS pour la présidentielle.
Vêtue d'une veste blanche devenue rituelle, Ségolène Royal a fait son entrée aux côtés de Bertrand Delanoë. Tous deux sont montés sur des chaises au premier rang pour saluer la foule.
Pour ce premier meeting à Paris depuis son investiture, fin novembre, la candidate a été accueillie aux cris de "Ségolène Présidente" par des milliers de militants, dont de très nombreux jeunes aux couleurs - rouge - du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) et violette de la Ségosphère.
Après un discours du maire de Paris et une intervention remarquable de l'acteur Philippe Torreton, Ségolène Royal s'exprime sur la tribune portant son slogan provisoire de campagne "Le progrès pour tous, le respect pour chacun" ainsi que les sigles du MRC et PRG. Ses différentes interventions remobilisent les militants. En avant camarades!!! Je vous laisse juger.
Ancien rival pour l'investiture interne, Dominique Strauss-Kahn a pris place aux premiers rangs de la Halle Georges Carpentier, dans le XIIIe arrondissement de la capitale (hihi, je vous l'avais dit le 13ème, ça c'est de la valeur sûre!) L'ancien ministre de l'Economie, qui doit remettre un rapport sur la fiscalité vendredi à Ségolène Royal, a été "personnellement invité" par la candidate au début de la semaine, a fait savoir son entourage. "DSK" s'est assis non loin d'autres anciens ministres de la "gauche plurielle" dirigée entre 1997 et 2002 par Lionel Jospin, absent de la réunion publique tout comme Laurent Fabius, avec lequel Ségolène Royal doit tenir un meeting le 24 février.
Côte à côte, Daniel Vaillant, Elisabeth Guigou et Jack Lang se sont assis près de l'ex-ministre de la Santé Bernard Kouchner ou Yvette Roudy, ancienne ministre de la Condition féminine de François Mitterrand et membre de l'équipe de campagne de Ségolène Royal. Devant la scène basse tendue de bleu, on retrouvait également François Rebsamen, co-directeur de campagne, Jean-Christophe Cambadélis, député de Paris et bras droit de Dominique Strauss-Kahn ainsi que les présidents de groupes PS à l'Assemblée et au Sénat, Jean-Marc Ayrault et Jean-Pierre Bel.
Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), avait été l'un des premiers à pénétrer dans le grand gymnase et Christiane Taubira, ancienne candidate du PRG, devenue la "déléguée à l'expression républicaine" de Ségolène Royal, devait rejoindre le meeting en cours de route. Les deux partis se sont rangés derrière le PS pour la présidentielle.
Vêtue d'une veste blanche devenue rituelle, Ségolène Royal a fait son entrée aux côtés de Bertrand Delanoë. Tous deux sont montés sur des chaises au premier rang pour saluer la foule.
Pour ce premier meeting à Paris depuis son investiture, fin novembre, la candidate a été accueillie aux cris de "Ségolène Présidente" par des milliers de militants, dont de très nombreux jeunes aux couleurs - rouge - du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) et violette de la Ségosphère.
Après un discours du maire de Paris et une intervention remarquable de l'acteur Philippe Torreton, Ségolène Royal s'exprime sur la tribune portant son slogan provisoire de campagne "Le progrès pour tous, le respect pour chacun" ainsi que les sigles du MRC et PRG. Ses différentes interventions remobilisent les militants. En avant camarades!!! Je vous laisse juger.
http://www.dailymotion.com/video/x15gig_bertrand-delanoe-6022007-2e-partie
Il s'agit ici de la 2ème partie du discours de Bertrand Delanoë durant le meeting parisien de Ségolène ce mardi 6 février.
Il s'agit ici de la 2ème partie du discours de Bertrand Delanoë durant le meeting parisien de Ségolène ce mardi 6 février.
http://www.dailymotion.com/video/x15glk_discours-philippe-torreton-6022007
Remarquable intervention de Philippe Torreton
http://www.dailymotion.com/video/x15h7c_segolene-discours-de-paris
Remarquable intervention de Philippe Torreton
http://www.dailymotion.com/video/x15h7c_segolene-discours-de-paris
Le courage, c'est de comprendre sa propre vie... Le courage, c'est d'aimer la vie et de regarder la mort d'un regard tranquille... Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel.
L'histoire enseigne aux hommes la difficulté des grandes tâches et la lenteur des accomplissements, mais elle justifie l'invincible espoir.
Il ne faut avoir aucun regret pour le passé, aucun remords pour le présent, et une confiance inébranlable pour l'avenir.
Il ne peut y avoir de révolution que là où il y a conscience!
(Jean Jaurès)
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